Laurie convoquée au tribunal se sent très mal lorsqu'elle entre dans la salle. Elle sait avant même que ce soit son tour, qu'elle sera condamnée, la seule chose qu'elle ne sait pas c'est quelle sera sa peine. Son s a n g se glace dans ses veines quand elle entend les verdicts des autres personnes, travaux d'intérêt généraux, peine de prison et châtiments physiques sont les peines qui ont été données.

Lorsqu'elle s'avance à la barre, sa tête tourne, son cœur bat la chamade. Piégée pour amour saphiques avec une de ses amies, elle s'attend à une peine d'intérêt général, surtout qu'elle reconnaît ses tords, indique être allée se confesser et jure qu'elle ne recommencera pas. Quelques instants plus tard, elle se morfond dans la salle des pas perdus. Cette attente est cruelle pour les condamnés se devant de rester au tribunal pour savoir quel sera leur sort. Appelée dans une salle séparée où en son centre, un carcan est posé, Laurie est m o r t e de peur quand elle se retrouve face au juge. Avec un regard froid, il lui annonce qu'elle subira conformément aux textes en vigueur le châtiment physique de 50 coups de canne car dans ce pays on ne plaisante pas avec l'adultère.

• Mettez-vous nue un assistante va vous installer.

Si elle est d'un naturel pudique, sa pudeur laisse place à une trouille monstre quand elle commence à se dévêtir en présence de ces gens qui la regarde avec des regards sévères. On lui lie les chevilles puis les mains, penchée en avant ainsi positionnée, si ses fesses sont très accessibles, son intimité l'est aussi. Jamais au grand jamais elle ne s'est sentie ainsi humiliée. Quand elle comprend que le juge lui-même s'occupera de la sentence une crise d'angoisse monte en elle, car il est apparu comme un homme froid d'une grande sévérité.

Le juge lui explique qu'elle doit compter elle-même les coups et que si elle oublie ou se trompe, il recommencera au début. Au premier coup de canne qui s'abat sur son petit fessier, la douleur est telle qu'aucun son de sort de sa bouche. Dans un sursaut de conscience, elle finit par formuler : « un ». Lentement et avec une grande froideur, les coups s'abattent sur ses fesses. La morsure de la canne est telle qu'une abominable onde chaude lui parcours le dos et les cuisses. Comme si les coups et compter ne suffisait pas à la perturber, le juge lui fait la morale et lui pose des questions du type « recommencerez-vous » questions qu'elle estime débiles car si telle était son intention, elle ne le lui dirait pas.

Laurie avait déjà entendu parler des punitions à la canne et de l'éducation anglaise, elle se doutait que cela devait faire mal mais pas à ce point là. La douleur est si intense qu'elle claque des dents, sa respiration se coupe quand elle entend le sifflement annonciateur des coups qui à chaque fois diffusent une chaleur vive dans ses fesses puis son dos avec une sorte de fourmillement intense. Lorsqu'un des coups s'abat sur le haut de sa cuisse, elle ne peut contenir un hurlement ni ses suppliques qui resteront vaines jusqu'à la fin de la sentence.

• Madame, gardez en mémoire qu'en cas de récidive, ce n'est pas 50 coups de canne qui sont donnés mais 150, car ici on ne plaisante pas avec l'adultère. Lui indique le juge en lui donnant un coup d'une puissance inouïe.

Au quarantième coup, elle a l'impression que ses fesses prennent feu, elles sont cruellement marquées et il y a de fortes chances que certaines des marques resteront à jamais gravées dans ses chairs. Le cinquantième coup donné, le juge passe la main sur ses fesses boursouflées portant des marques noires à certains endroits.

• Voilà un fessier qui se rappellera les risques de l'adultère pendant quelques jours quand vous vous assiérez. J'espère ne jamais vous revoir en ces murs. Lui indique le juge en ordonnant qu'on la libère.

Laurie s'habille sans tarder puis demande si elle peut partir, le juge lui désigne simplement la porte en guise de réponse. Les fesses en feu et la honte bue, son pantalon lui rappelle à chaque pas l'horrible matinée qu'elle vient de vivre.